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Découvrez le mod OFFIKRIEG.

Le Mod dans sa version 1.5 et son patch correctif (V 1.5.0.3) sont désormais disponible pour tous depuis quelques mois maintenant. Alors, évoluez sans plus attendre sur les nombreuses cartes multijoueurs réalisées par la communauté CDO et battez vos adversaires grâce à des techniques audacieuses ou laissez-les approcher de vos lignes défensives et réduisez leurs efforts à néant !
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By Mogwaii

Le code source de Blitzkrieg accessible !

Blitzkrieg : Le code source d'un monument de la stratégie désormais accessible publiquement !
Le jeu Blitzkrieg, développé par Nival Interactive, est bien plus qu'un simple jeu de stratégie en temps réel. Sorti en 2003, il a su captiver une génération entière de joueurs passionnés par la Seconde Guerre Mondiale. Des affrontements intenses, une gestion minutieuse des unités, des missions aussi exigeantes que captivantes... Blitzkrieg est devenu une référence absolue dans le monde des RTS. 
Et aujourd'hui, plus de vingt ans après sa sortie, un événement inattendu vient secouer la communauté : le code source du jeu est désormais accessible publiquement via le dépôt GitHub officiel de Nival Interactive. Un trésor numérique est désormais à portée de clic pour tous les passionnés de stratégie.

 
 
Avril 2025 : une date à marquer d'une pierre blanche.
C'est sans tambour ni trompette, mais avec une portée considérable, que Nival Interactive a mis en ligne le code source de Blitzkrieg début avril 2025. L'initiative, discrètement annoncée via le dépôt GitHub, vise ainsi à encourager les projets dérivés non commerciaux tout en préservant l'héritage technique du jeu. Pour une communauté de passionnés, habituée à explorer chaque recoin de ce RTS culte, cette annonce résonne comme une invitation à se plonger dans les entrailles du jeu. 

 
 
Dans le README du dépôt, Nival expose également ses intentions : donner aux développeurs l'opportunité de découvrir les mécanismes internes du jeu, de corriger des bugs ou même de proposer de nouvelles fonctionnalités. Mais attention, ce cadeau s'accompagne de certaines restrictions...

 
 
Une plongée au cœur du code : que contient le dépôt GitHub ?
Le dépôt GitHub de Blitzkrieg est un coffre aux trésors pour les curieux et les développeurs en herbe. On y retrouvera le code source complet du jeu, comprenant les fichiers relatifs à l'interface utilisateur, le moteur graphique, la gestion des unités et le système d'IA. Ainsi, vous aurez de quoi vous immerger dans les rouages d'un RTS des années 2000 et comprendre comment Nival a réussi à captiver des milliers de joueurs à travers le monde.
Il est également important de préciser que le dépôt GitHub semble inclure certains assets du jeu, disponibles dans le dossier 'Versions/Current'. Ces fichiers correspondent en principe aux assets du jeu original et ne contiennent donc pas ceux des extensions ou des mises à jour ultérieures. Ce ne sera pour autant pas un problème pour la communauté des «moddeurs», qui disposent déjà de ces derniers, accessible au travers des fichiers «.pak» du jeu lui-même, voir plus, avec leurs propres créations. Cependant, il est à noter que ces éléments, bien que disponibles pour exploration et modification, restent soumis aux droits d'auteur de Nival Interactive et ne peuvent être réutilisés à des fins commerciales.



Un terrain de jeu pour les moddeurs : ce que permet l'accès au code source
Pour les moddeurs, cet accès au code source est une aubaine. Les possibilités sont ainsi nombreuses, notamment pour la recherche et l'éducation /apprentissage sur la programmation en C/C++ réalisée durant les années 2000. Même si cela nécessite donc certaines connaissances, nous pouvons ainsi espérer voir le jeu être amélioré avec le temps par certains développeurs investis, voir moddeurs passionnés. En ce qui concerne les possibilités elles-mêmes, nous pouvons en mentionner certaines : 
Optimisation des performances : Modifier les fonctions clés pour améliorer la fluidité du jeu ou l'adapter aux machines actuelles. Missions et campagnes inédites : En manipulant les algorithmes d'IA, il devient possible de concevoir des scénarios plus complexes, plus intenses, plus personnalisés. Nouveaux types d'unités : Pourquoi ne pas ajouter des véhicules ou des unités inédites ? Avec le code source en main, le champ des possibles s'étend considérablement. Outils éducatifs : Étudier le code source de Blitzkrieg, c'est plonger dans l'architecture d'un RTS de l'ère 2000. Un excellent support pour les développeurs et les étudiants curieux d'apprendre les bases de la programmation de jeux de stratégie.
Lien du Mod CSLA
Agrandissement des cartes : Augmenter les dimensions maximales des maps (actuellement limité à 32x32) dans le jeu semble désormais possible. Qui n'a jamais imaginez pouvoir combattre sur un champs de bataille quatre fois plus grands ? Serveur dédié : Et pourquoi ne pas envisager la possibilité d'héberger une session de jeu multijoueur au travers d'un serveur dédié, avec création d'une interface d'administration du lobby, vote  pour le choix des maps disponibles, etc... ? Idée probablement très appréciée mais qui nécessiterait tout de même de bonnes connaissances dans le domaine.   
 
Le revers de la médaille si l'on peut dire ainsi : les contraintes imposées par la licence
Si l'accès au code source ouvre la voie à une créativité débordante, il est essentiel de respecter les conditions strictes de la licence. Nival Interactive a mis en place plusieurs restrictions :
Utilisation non commerciale uniquement : Toute tentative de monétiser des projets dérivés est interdite sans autorisation expresse de Nival. Licence open source obligatoire : Les modifications doivent être partagées sous la même licence, garantissant que toutes les améliorations restent accessibles à la communauté. Respect des droits d'auteur : Les assets graphiques, sonores et textuels ne sont pas inclus et leur utilisation sans permission est proscrite. Mention obligatoire : Tout projet dérivé doit inclure une référence claire à Nival Interactive et un lien vers le dépôt GitHub original.


Blitzkrieg : un jeu encore bien vivant
Bien que Blitzkrieg soit sorti il y a plus de vingt ans, le jeu est toujours disponible à la vente sur des plateformes telles que Steam et GOG. Si le code source est désormais ouvert à tous, le jeu d'origine, ses extensions et ses assets officiels demeurent des produits commerciaux. Les moddeurs devront donc jongler entre créativité et respect des règles pour donner une seconde vie à ce RTS culte.

 
 
Conclusion : Un nouvel élan pour Blitzkrieg ?
En rendant public le code source de Blitzkrieg, Nival Interactive offre à sa communauté un cadeau inattendu et précieux. Pour les passionnés, c'est une occasion unique de plonger au cœur du code et d'explorer les mécanismes d'un jeu de stratégie légendaire. Pour les développeurs, c'est un terrain d'expérimentation idéal pour s'exercer à la programmation d'un RTS. 
Cependant, l'enthousiasme devra être tempéré par le respect des conditions imposées par la licence. En conservant les droits sur les assets originaux et en interdisant toute exploitation commerciale, Nival s'assure que son œuvre reste protégée tout en stimulant la créativité de sa communauté. La question est désormais de savoir ce que les joueurs passionnés feront de cet héritage numérique. Blitzkrieg, un jeu que l'on pensait figé dans le passé, vient peut-être de renaître sous une toute nouvelle forme.

Sources : Lien vers dépôt Github de Blitzkrieg : https://github.com/nival/Blitzkrieg
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By Mogwaii

«Arma 3 Creator DLC» SOG - Prairie Fire

Développé par Savage Game Design, S.O.G - Prairie Fire vous ramènera à la guerre du Vietnam. Pour pourrez parcourir un terrain de 300Km² représentant plusieurs zones d'opérations de ce conflit et notamment, la piste Ho Chi Minh et incarner les forces de quatre factions qui ont pris part aux combats.
Cinquante armes, plus de cinquante véhicules et armes statiques (comprenant les variantes) associés à des effets sonores et une bande son originale agrémenteront votre immersion et vous permettront de revivre ce conflit.
 
Retrouvez l'ensemble des informations de ce prochain Creator DLC sur la page dédiée d'arma3.com ou sur le site https://www.sogpf.com/ et suivez leur actualité sur les réseaux sociaux Twitter, Youtube ou encore Facebook.
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Nvidia GeForce RTX ou AMD Radeon RX : quelle carte graphique choisir ? (01net.com)

Nvidia a pris une sérieuse avance dans la course à la puissance et aux effets 3D ces dernières années, mais AMD commence à rattraper son retard. Voici notre grand test de toutes les dernières cartes graphiques majeures sorties ces derniers mois.
Découvrir la suite de cet article chez 01net.com.
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Close Combat : The Bloody First - Un passage à la 3D en demi-teinte (HistoriaGames)

Alors que cinq longues années se sont écoulées depuis la sortie du dernier opus de la licence « Close Combat », Matrix Games et Slitherine surprenaient leur petit monde en annonçant, il y a de cela quelques mois, préparer un nouveau titre. Nouveauté majeure et principal argument de vente placé au centre de la stratégie marketing du jeu : celui-ci serait le premier de la licence à bénéficier d’un moteur offrant un rendu visuel en 3D.
Découvrir la suite de ce test chez notre partenaire HistoriaGames.
 
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Paradox Interactive : La politique de DLC évoquée, est-ce toujours trop cher ? (Gameblog.fr)

Paradox Interactive a une politique très particulière concernant les DLC, en ce sens où chaque sortie de jeu est la promesse de plusieurs DLC par an et cela durant plusieurs années. L'ancien CEO de la compagnie a tenu à s'exprimer à ce sujet.
Découvrir la suite de cet article chez Gameblog.fr.
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A la découverte du Raspberry Pi et de ses applications

Atlantis

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Je démarre aujourd’hui une série de billets dédiés au Raspberry Pi. Mais qu’est-ce donc allez-vous me demander ? Et bien, justement, le sujet de ce premier article est de vous présenter ce micro ordinateur plus qu’original et dont je suis un peu amoureux.

Pour comprendre le Raspberry Pi il faut connaitre son histoire.

Commençons donc par l’historique de ce projet qui n’est pas sans rapport avec le monde du jeu vidéo puisque David Braben est l’un des principaux promoteurs du Raspberry Pi. Ce Monsieur est aussi le développeur du jeu Elite : un must précurseur du genre «4X» spatial dont la première mouture est sortie en 1984 sur BBC Acorn. David Braben fut également à l’origine de nombreux autres jeux à succès dans les années 1990 sur les Acorn Archimedes et Acorn RiscPC : des machines de la même génération que l’Atari ST ou l’Amiga mais à la conception encore plus originale, avec un OS multitache préemptif (l’Amiga aussi en avait un soit dit en passant) reposant sur une architecture matérielle en avance sur son temps grâce à son micro-processeur A.R.M. A l’époque A.R.M désignait Acorn Risc Machine et était la division matérielle/microprocesseur du constructeur informatique Acorn connu pour avoir remporter un contrat juteux dans le milieu éducatif anglais en coopération avec la BBC, au moment où, en France, nous avions des Thomson MO5 et TO7 dans les écoles avec le plan «Informatique pour tous». L’expérience de développeur acquise par David Braben sur l’architecture Acorn fut une inspiration pour les choix technologiques sur le Raspberry Pi.

Les processeurs A.R.M présentent en effet d’énormes avantages par rapport aux processeurs X86 classiques d’Intel ou aux Motorola 680X0 des années 90 et début 2000 : ils affichent une puissance de calcul impressionnante pour un cout réduit. Ils consomment et chauffent peu et sont extrêmement compact, ce qui permet de les introduire dans des équipements de volume réduit, notamment des matériels portables grands publics où la masse et la voracité énergétique sont des éléments déterminants.

Mais, concrètement, c’est quoi le Raspberry Pi ?

C’est une carte mère «Broadcom BCM2835 SoC full HD multimedia applications processor» avec un hard à bas prix développé autour du processeur A.R.M, le même que celui qui anime la grande majorité des téléphones portables du marché.

Il existe deux modèles : le modèle de base, dit «A», avec un port USB 2.0 et 256 Mo de RAM et le modèle dit «B», avec deux ports USB 2.0, un port Ethernet à 100 Mb/s et 512 Mo de RAM. Vous avez droit à un emplacement SD card, à une sortie audio 3.5mm jack, à une sortie vidéo Composite RCA (PAL et NTSC) et à un port HDMI (compatible avec les v1.3 et 1.4 de la norme) sur les deux versions. Il n’y a pas de mémoire vidéo dédiée mais tout de même un coprocesseur «Dual Core VideoCore IV®

Multimedia Co-Processor» efficace même pour afficher des images en haute définition. Dans tout les cas le processeur est un modèle à 700 MHz (Low Power ARM1176JZ-F).

raspberry-pi-model-b.png

La carte mère du modèle B qui mesure à peine 8.6cm x 5.4cm x 1.7cm, sachant que celle du modèle A est encore plus petite de quelques mm.

S’ajoute cela «un écosystème» varié, regroupant des boitiers (indispensable car la carte mère est fournie nue) et certains périphériques classiques comme une SD card (pour stocker le système d’exploitation et les applications) le câble HDMI ou un câble d’alimentation. Dans tout les cas la philosophie du Raspberry Pi est la récupération de matériels de grande consommation. Vous pourrez ainsi utilisez un chargeur de téléphone portable pour alimenter votre ordinateur, sous réserve que celui-ci délivre un minimum de 700 mA pour le modèle B.

Un Raspberry Pi pour quoi faire ?

L'objectif est de répondre de manière économique à des besoins courants, tels que la bureautique et la navigation Internet, comme plus originaux comme la domotique ou l'hébergement de sites web. Le Raspberry Pi propose une puissance suffisante pour faire face à la démocratisation de la micro informatique et de l’Internet y compris dans des pays où les revenus sont bas et l'énergie chère ou difficile à obtenir. Ainsi il serait possible d’alimenter une dizaine de Raspberry Pi en Afrique avec un simple panneau solaire. Evidement, il ne sera pas envisageable de faire tourner les derniers jeux à la mode sur un Raspberry Pi même si une déclinaison particulière de Minecraft existe. Il est également envisageable de se servir du Raspberry Pi comme de plateforme «media center» car il permet la lecture des BluRay et un affichage en 1080p à 30 images par secondes.

Quel(s) O.S anime(nt) donc cette bien étrange machine ?

Il existe deux possibilités : soit le bien connu Linux, sous la forme de la distribution «Raspbian wheezy» (dérivée de Debian) soit RiscOS, le système d’exploitation des Acorn RiscPC, toujours au top du point de vue technique et fonctionnel. Dans les deux cas l’O.S est gratuit.

Et combien ça coûte cette petite merveille de technologie ?

Le modèle A est vendu à 25 US $ et le modèle B à 35 US $. Il faut ajouter à cela le coût d’un câble HDMI, d’un S.D card, d’un câble d’alimentation et d’un boitier.

Au programme du prochain billet : installation et mise en route, le tout en images.



3 Comments


Recommended Comments

Ca arrive. J'ai pris les photos d'illustration du prochain article qui explique notamment le montage. Il faut compter encore quelques jours avant la publication de la suite.

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