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Anatoli

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Tout ce qui a été posté par Anatoli

  1. Je pense qu'on va avoir des looks à faire fuir les zombies !!!Ben oui : ce qui est beau les fait fuir, c'est connu...
  2. Merci Emile... Petite annonce... Catsy vient encore de faire des miracles... Nous allons bientôt avoir des personnages habillés par les plus grands couturiers de Chernarus... Oui oui ! Vous avez bien lu... Nous pourrons choisir parmi tout un tas de costumes de meilleure qualité visuelle et plus variés que ceux que l'on a... Jugez-en par vous-même sur ces 2 screenshots : Tous les modèles (c'est-à-dire beaucoup!!) seront bientôt mis en images sur le forum, et nous n'aurons plus qu'à choisir la tenue de nos rêves... Une fois le choix effectué, c'est Catsy qui fera l'intégration par le serveur, comme d'hab'... Pas belle la vie? ...
  3. Pas de soucis pour mercredi... A priori, on verra ce qu'on fera en fonction des effectifs... Catsy est en exam, Carl est en vacances... Donc à voir. C'est bête, ça, Staiff... Je vais à Pont-l'Abbé dimanche... Ce sera pour la prochaine...
  4. Partie 4/4 Ce matin, il fait beau. On a pas trop mal récupéré de nos blessures (heureusement sans gravité)… ça nous fera des cicatrices à montrer aux filles… Ouais, bon… Je sais : on n’est pas prêt d’en voir dans le secteur… Comme nous sommes six à participer, on peut prendre place à bord du Little Bird qui, contrairement à notre Huey, est en très bon état. C’est vrai qu’il est beau, cet hélico… Et il y a des emplacements pour nous permettre de nous asseoir sur les côtés. Pratique pour dégommer tout ce qui bouge autour de l’hélico ! On prend place à bord… Catsy démarre, et la bête décolle… Bigre : il est nerveux cet engin ! Le trajet vers Bérézino est agréable. On survole quelques villages complètement remplis de zombies… On arrive au-dessus de Bérézino : les rues grouillent de silhouettes… ça s’annonce compliqué. L’hôpital apparait devant, et Catsy se dirige vers le toit. Ce qu’il y a de plaisant, c’est que les bolchéviques de ce coin ont pensé à faire des toits sur lesquels peuvent se poser des hélicos… On s’y pose, d’ailleurs… Tout le monde (ou presque) descend du Little Bird. On se dirige vers les rebords du toit. En bas, ça grouille de zombies qui ne pensent qu’à une chose : nous bouffer ! Pas rassurant du tout. Là, on est obligé d’ouvrir le feu pour dégager le bâtiment… On voit les mort-vivants courir dans les rues adjacentes et se diriger vers l’hôpital. On tire sans gaspiller… Les silhouettes s’écroulent les unes après les autres. Au bout de quelques minutes, la situation se calme un peu. Puis plus de signe d’activité zombie… On en profite pour descendre le long d’une échelle, et de rentrer dans l’hôpital pour le fouiller. La récolte est moyenne : quelques doses de morphines, quelques bandages, lingettes et poches de plasma. Correct… Profitant du calme temporaire, on sort du bâtiment et on fait route vers les supermarchés. Le premier est relativement proche, alors que le second se trouve de l’autre côté de la ville. Entre ces deux édifices, des immeubles… On se divise en deux groupes pour fouiller les appartements… Pas grand-chose d’intéressant. Ils ont déjà dû être pillés. Ce coup-ci, on a dégainé les machettes : hors de question de tirer le moindre coup de feu si on veut que ça se termine bien ! La fouille du premier supermarché se fait sans trop de problème… Au final, le butin est maigre. On se met en route vers le deuxième ; pour cela, on s’écarte un peu de la ville afin de la contourner. Sur le chemin, un mirador… Et des zombies qui rodent. On est vite obligé de les attaquer… Ils sont coriaces, ceux-là… Mais on a des pros de la machette parmi nous ! Après quelques accrochages sans gravité, on arrive en vue du deuxième supermarché… Et là, il y a du monde… Beaucoup de monde. Jo lance un fumigène vert afin d’attirer les cadavéreux vers la fumée. C’est qu’ils ont un QI ne dépassant pas le coefficient des grandes marées basses, ces zombies… Immédiatement, ces derniers s’agglutinent vers la fumée… Ce qui nous laisse le champ libre pour foncer dans l’édifice, le fouiller et ressortir. Mais la sortie se fait quand même à grands coups de machettes ! Et là, on galope vers le mirador qu’on avait visité quelques minutes auparavant. Je pars avec Catsy afin de chercher l’hélico et le ramener à cet endroit. Pendant ce temps, les autres survivants couvrent la zone. Lorsqu’on revient avec l’hélico, c’est le Vietnam en bas : nos quatre potes sont aux prises avec des cadavéreux agressifs qui les chargent sans relâche. Catsy réussit à amener le Little Bird suffisamment près pour les récupérer, et le sauvetage se fait dans un indescriptible chaos… Finalement, tout le monde grimpe à bord, et là, on fait un carnage autour… Nos nerfs lâchent ! Ah que ça fait du bien… Tiens : prend ça dans ta tronche, stupide zombie ! Bref : on s’en sort pas trop mal… Sur le chemin du retour, à Stary Sobor, on repère un crash d’hélico… On dirait qu’il y a des caisses de munitions à côté… C’est parti ! On pose notre hélico à 300 mètres du crash. On se positionne en ligne de front, et on progresse. Arrivés à distance de tire, on met genou à terre et on ouvre le feu. Les zombies présents se précipitent sur nous, dans une rage aveugle et inconsciente. Mais ils n’ont aucune chance face à notre mur de feu… On se précipite avidement vers notre butin… Bingo ! Des Stanags ! C’est Byzance… Purée… Je crois que j’en ai eu la larme à l’œil… Au signal de Lux, tout le monde se tire… Des zombies s’approchent à environ 200 mètres… On prend place dans l’hélico, et on redécolle. Catsy nous indique qu’il faut faire le plein… Effectivement, le voyant rouge est allumé sur le tableau de bord… ça, c’est des ennuis en perspective. Il va falloir couvrir ceux qui vont remplir les jerricans et mettre l’essence dans l’hélico. Gloups. On profite de la ballade en Little Bird pour préparer nos armes… L’hélico arrive en vue d’une station. Il me dépose avec deux autres gars sur le toit ; on se met immédiatement en position pour couvrir les potes qui vont faire le plein. L’hélico se pose, et tout le monde se met à l’œuvre… Les cadavéreux pointent soudain le bout de leur nez… C’est la guerre ! On ouvre le feu, en prenant bien soin de viser la tête… Ils sont encore loin, et on fait du bon boulot. Ça laisse le temps aux gars en bas de bosser… Après 10 minutes, l’hélico redécolle et nous prend au passage… On repart soulagés vers le camp de Lesnoy… Ouf ! C’était une sacrée expédition… Une fois au camp, on se détend… Staiff nous prépare un mouton… Et on se retrouve une fois de plus autour du feu de camp pour un festin… On a tenu encore une journée de plus… - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Vivement la prochaine... Mercredi soir pour les volontaires? ...
  5. Partie 3/4 Après une journée passée à observer la côte nord de l’île de Skalisky, on a mis au point un plan d’attaque. La meilleure solution, d’après nous, et vu qu’on n’a pas beaucoup d’infos sur ce qu’on va trouver sur Skalisky, consiste en un débarquement par le côté ouest de l’île. Pendant que le premier Zodiac accostera, le deuxième sera un peu en retrait, en couverture. Une fois le périmètre de débarquement sécurisé, le deuxième bateau accostera à son tour. De là, on progressera vers l’antenne située au sommet ; cela semble le meilleur endroit, car on devrait être en hauteur et avoir une bonne vue sur les installations. Enfin, c’est ce qu’on espère… Après, on verra bien. Le but de l’opération est de voler le Little Bird. Rien que ça ! Ça devrait chatouiller un peu Kaiser Killer (si ce sont ses gars qui tiennent Skalisky) ! Après, on aura intérêt à se faire oublier… Quelque chose me dit qu’il vaut mieux pas qu’il découvre notre camp de Lesnoy : on pourrait passer un sale quart d’heure ! La nuit tombe… On attend encore deux heures. En silence. Lux se lève ; on le suit et on se répartit dans les Zodiac. L’approche se déroule exactement comme on l’avait prévu… Le premier groupe débarque, prend position, et couvre l’arrivée du deuxième groupe. Je me retrouve dans le groupe Bravo, avec Jo, Carl et Staiff (je crois)… Lux dirige alpha, avec Gaourry et Catsy. On gravit péniblement, mais en silence, la pente devant nous, et on arrive sans encombre au sommet, près de l’antenne qu’on avait repéré. On sécurise le périmètre. Plus au sud, des toits de bâtiments apparaissent à travers la végétation. On se dirige vers eux, déployé de front : Alpha à gauche, Bravo à droite. Lux ordonne l’arrêt : des patrouilles sont visibles à gauche et devant nous… Environ 100 mètres… Tout le monde se couche. Ça y est : on est en mod « Lombric ». On progresse lentement vers les bâtiments, en gardant les patrouilles ennemies au coin de l’œil. Arrivé en lisière du bois, chacun se met en position, derrière arbres et rochers ; devant nous, des feux de camp devant un hangar, des caisses de matériel… Et des hommes autour ! Fichtre : ça va pas être facile… Chacun vise une cible… Carl me fait signe qu’une patrouille passe à droite de notre position… Quand un coup de feu claque ! Immédiatement, un déluge de feu immobilise les types devant nous… Mais les choses tournent mal pour les Bravo : en effet, la patrouille de droite nous a repéré, et nous arrose copieusement à l’arme automatique. Carl et Jo sont blessés… Une douleur à la jambe, et je réalise aussi que je viens de prendre une prune ! C’est la panique, car on est en train de se faire déborder. On ne doit notre salut qu’au sang-froid des Alpha qui parviennent à nous dégager… Catsy et Lux courent vers le hangar et disparaissent derrière. Quant à nous, on se replie comme on peut, sous le feu ennemi, vers la plage… Ah que c’est loin quand on est blessé ! Alors qu’on parvient au sommet, près de l’antenne, le bruit d’un moteur d’hélico qui démarre se fait entendre… Mais c’est qu’ils sont en train de réussir à le voler, nos deux lascars ! Ça nous donne du cœur à l’ouvrage… On reprend notre progression vers la plage et nos Zodiac ; mais cette fois-ci, ça va mieux : la plage est en contrebas… C’est plus facile, surtout avec une balle dans la jambe. C’est ce que doivent aussi se dire mes deux potes blessés… On embarque, sans se poser de question, et on met le cap sur notre crique, devenue notre camp de base pour quelques heures… Le Little Bird passe au-dessus de nous… Je me retourne vers l’île… Et je peux voir des lueurs, surement les incendies qu’on a provoqués lors de l’accrochage près des bâtiments. Ah ! Il l’a dans l’os, le Kaiser Killer ! Cinq minutes plus tard, nous voilà débarqués dans la crique… Les premiers soins nous sont prodigués, et je dois dire que ça soulage un peu. Le Little Bird arrive au-dessus de nous, avec Lux et Catsy à bord… On embarque tous, et on va récupérer notre bon vieux Huey, un peu plus au nord… Et nous voilà de retour au camp de base de Lesnoy, pour récupérer un peu de nos aventures… Tout ça a été très consommateur de matériel… Notre stock médical est redevenu critique, tout comme nos munitions. Au réveil, on s’est dit qu’il faudrait faire un tour à Bérézino histoire de récupérer du matériel médical et autre… Il y a en effet un hôpital et deux supermarchés dans cette ville. On prend la décision de faire un raid dans le secteur dès demain. [A suivre...]
  6. Partie 2/4 Après tout, pourquoi pas ? De nuit, les zombies sont un peu moins dangereux… On a déjà remarqué qu’ils avaient plus de mal à nous repérer. Et en plus, on a des JVN. On reste autour du feu trois bonnes heures histoire de dormir un peu. Vers deux heures du matin, alors qu’il fait nuit noire, on se met en route vers Electro. Arrivés aux abords de la ville, Lux (qui habitait là avant le Jour Z) nous indique les endroits où on a le plus de chance de trouver du matériel intéressant… Les quais… La Fire Station… La progression se fait machette à la main. Pas question de tirer un coup de feu : ce serait un massacre… Lentement, mais sûrement, accroupis les uns derrière les autres, on avance sur les quais. Au loin, les silhouettes sinistres des nouveaux habitants de la ville se détachent sur l’horizon… ça fout les jetons ! On continue notre progression… C’est tendu, mais on arrive à ne pas se faire repérer par les zombies. De temps en temps, un cadavéreux zélé nous fonce dessus… Mais c’est pour finir découpé en morceau… On gère ! On visite les entrepôts un par un… Malheureusement, alors qu’on entre dans un gros hangar, on fait grincer la porte. Erreur fatale ! Des grognements se font immédiatement entendre, et on voit débouler une quinzaine de cadavéreux vers nous ! On se précipite dans le hangar, et c’est machette à la main qu’on repousse ces tas de bidoche ambulants ! Le choc est brutal. Mais au bout de cinq minutes, le calme revient… Avec le silence… Tout le monde est tendu et scrute l’extérieur par la porte. Rien. Plus un bruit… On a eu chaud (encore une fois). On sort prudemment… Et on continue notre visite nocturne. C’est vraiment flippant de passer à côté d’un mort-vivant… On se demande s’il va nous voir… Et ces bruits… Beurk ! De temps en temps, on en découpe un qui s’aventure un peu trop près… Et on s’immobilise tout de suite après pour voir si on n’a pas rameuté ses collègues. Vous pouvez me croire, vous qui lirez (peut-être) ces lignes : ça fait froid dans le dos ! C’est à la Fire Station que ça a dégénéré… On a rameuté une tonne de zombies alors qu’on visitait les locaux… On ne les a pas vus venir, et il a fallu défendre chèrement notre peau. On a dû battre en retraite devant le nombre… Au final, on a grapillé quelques chargeurs… C’est toujours ça de pris. Et nous voilà de retour dans notre petite crique. Là, on décide de dormir, et d’attaquer Skalisky le lendemain soir… [A suivre…]
  7. Hello... Et voici les comptes rendus de nos 4 dernières missions, en 4 parties successives... C'est un peu romancé, car j'ai oublié beaucoup de détails... - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Journal d'Anatoli - 128ème jour parès le "Jour Z" Partie 1/4 Ce matin, on s’est réveillé en sursaut au camp de base… Tu parles ! Un bruit de moteur d’hélico, et en levant les yeux, un Little Bird qui survole Lesnoy et qui part vers l’Est. On s’est regardé, complètement incrédules… Forcément, on a pensé aux types qu’on a attaqués quelques semaines auparavant pour tenter de prendre leur machine à contrôler les cadavéreux… Comment il s’appelle déjà, leur chef ? Ah oui… Kaiser Killer, je crois… On se prépare rapidement, et on se retrouve au milieu du camp. Joarius, Lankou, Staiff et sa chance légendaire, Gaourry, Lux, Carl, Catsy et moi… La fine équipe, quoi… Une âpre discussion s’engage, et au bout d’une demi-heure, on en arrive à la conclusion qu’il serait intéressant de partir faire une exploration vers l’Est de Tchernarus. Les raids des jours passés n’ont pas été très rentables, et de nouveau, nos réserves commencent à se tarir… Je regarde mes potes s’équiper. Je fais de même… Mon fidèle fusil G-36, 6 chargeurs, une grenade fumigène (oui, ça peut servir…), un peu de nourriture, quelques bandages… Quelque chose me dit qu’on part pour quelques jours… Un petit check des radios, et je suis prêt. Et il va falloir être prudent… Les zombies sont vraiment très agressifs depuis la fin de l’hiver. Et ils se répandent partout. Jusqu’à présent, on n’en trouvait quasiment qu’autour des villes. Maintenant, on les voit errer dans les vastes étendues de Tchernarus. Un vrai bonheur, quoi… On prend notre vieux Huey que Lux a bricolé avec plus ou moins de bonheur. Et nous voilà parti vers l'Est. A bord, on définit notre stratégie… Il y a une chance pour que le Little Bird se soit rendu le long de la côte, dans un patelin dans les environs. Il nous faudrait longer cette côte, à pied, sur plusieurs kilomètres afin de repérer quelque chose, un indice, enfin… Quelque chose qui nous mette sur la voie. En regardant la carte, le secteur de Skalisky Island nous apparait comme idéal pour poser l’hélico et le camoufler. On y arrive rapidement. L’atterrissage se passe bien. L’hélico a tenu… Merci Lux ! D’un autre côté, j’ai vraiment pas envie de savoir avec quoi il l’a réparé… ça me fait penser à une vieille série télé… L’Agence Tous Risques, je crois, avec Barracuda qui supportait pas les hélicos… Mais bon : c’était une autre époque… On se déploie en deux groupes pour progresser, et on avance vers le sud, pas loin de la côte. Tout d’un coup, un bruit de moteur nous fait nous jeter au sol… Punaise : le Little Bird vient de nous survoler, et semble faire du sur-place au-dessus d’une île, plusieurs kilomètres au sud… Je crois pas qu’il nous ait vus. On se relève, et on galope se mettre à couvert sous un bois, près de la côte. On décide de progresser le plus à couvert possible vers le sud. Le Little Bird revient et repasse peu de temps après pour se poser sur l’île qu’on a repéré… Skalisky Island qu’elle s’appelle, je crois. On arrive en vue d’un phare, au nord de l’île. On court vers cet objectif et on se planque dans les rochers. D’ici, on a une chouette vue sur Skalisky. Au bout de quelques minutes, on aperçoit un bateau qui fait des allers retours entre Skalisky et la côte, encore plus au sud. En regardant la carte, on se rend compte qu’il y a surement une zone marécageuse là-bas, avec des habitations. Joarius, qui scrute l’île depuis un bon moment, nous fait signe : il a repéré une patrouille armée qui déambule le long de la pente nord de Skalisky. Instinctivement, on se planque. Les minutes passent, et à part ces types, on ne voit personne d’autre. Pendant ce temps, le Little Bird redécolle et fait encore un aller-retour… On se regroupe à l’abri du phare. Que faire ? Nager jusqu’à l’île est impossible : trop loin. Il nous faut des embarcations. Mais où les trouver ? On n’a pas le choix. On va devoir progresser le long de la côte, avec l’île en face, et visiter les villages qu’on va pouvoir trouver au bord de l’eau. Heureusement, ils ne sont pas trop loin. Réfléchir me donne faim… J’ouvre une boite de maquereaux à la moutarde « William Saurien », et je me l’enfile direct. Un Coca par-dessus, et hop, un rot sonore… On se sépare en deux groupes une fois de plus. Les Alpha le long de la côte, et les Bravo en parallèle, le long de la route, à droite. Dès que le Little Bird passe au-dessus de nos têtes, on se jette au sol… C’est pénible. On arrive à l’entrée d’un petit village de pêcheurs… Enfin, ça l’était… Maintenant, ça grouille de cadavres ambulants… On perd le contact avec les Bravo alors qu’on se faufile entre la plage et les maisons. Des coups de feu retentissent… Bon : ils ont dû être accrochés par des putréfiés. Quant à nous, on distingue trois petits ilots devant nous… Skalisky Island se trouve dans nos huit heures, au loin… Ces ilots sont recouverts de végétations… Un vrai marécage… ça me rappelle mon entrainement dans les marais de Louisiane quand j’étais dans la BAF. Ça fait un siècle ! On s’arrête sur la berge. Il va falloir traverser à la nage… Je me mets à l’eau avec Gaourry, pendant que les deux autres larrons du groupe alpha assurent la couverture… ça caille… Et ça pue, cette flotte… On finit par arriver de l’autre côté, et on couvre nos deux autres équipiers qui traversent à leur tour. Un coup de feu retentit ! Bon sang ! On est accroché à notre tour… On n’y voit rien avec ces plantes grimpantes… On réplique, un peu au hasard… Des cris… Je regarde à gauche, et je vois un type que je ne connais pas qui s’écroule, la tête fracassée… ça doit être Staiff qui a tiré… Beau boulot… Notre avance est ponctuée d’accrochages, mais on s’en sort avec peu de dommages. Plus loin, sur la côte derrière nous, on n’entend plus de coup de feu. Les Bravo ont dû s’en tirer. J’espère… Alors qu’on reprend notre progression, je sursaute : un bruit sur la droite… Ouf ! Ce sont les Bravo qui viennent de nous rejoindre. J’ai failli tirer dans le tas !! Devant nous, apparait une cabane sur pilotis. On la sécurise, et Ô surprise… Deux Zodiac dessous ! Et un peu de matos… Eh ben voilà ! On l’a notre moyen de transport pour aller sur Skalisky Island ! Qui sait ce qu’on y trouvera… Du matos ? Des médocs ? De la bouffe ? Des armes ? … Mmmm… ça fait rêver ! Cinq minutes de break, et on charge ce qu’on peut dans les embarcations. On se tire de là dans la foulée, en prenant bien soin d’éviter le rivage de Skalisky. P… de moustiques ! Y’en a partout ! On se dirige vers un endroit qu’on avait repéré à l’aller, au nord, à l’abri des regards (coordonnées : 135 / 111)… ça pourrait être un bon emplacement pour nous reposer avant de prendre l’île d’assaut. Au bout de 10 minutes de navigation, on y arrive… La nuit tombe, et on se restaure… Quelques heures de sommeil ne nous feront pas de mal. Mais Catsy et Carl font remarquer qu’on est limite pour attaquer notre objectif… On a cramé pas mal de cartouches… Lux suggère alors de faire une petite virée à Electro, un peu plus au sud, histoire de tenter de récupérer des munitions et du matos médical. Et éventuellement de quoi rafistoler notre bon vieux Huey ! [A suivre...]
  8. Hello... Un petit DayZ soft de veille de jour férié, ça vous branche mercredi soir? Histoire d'aller se ballader sur Chernarus, quoi... A demain !!
  9. Oyez oyez ! C'est la guerre mercredi soir ! On fait le débarquement à nous tout seul !! On a besoin de toutes les forces disponibles !! Même Staiff (avec 5 pattes de lapin, 3 fers à cheval) !! Préparez votre matériel... ça va être chaud !
  10. Yop les survivants... Juste pour vous rappeler que mercredi, ben c'est la guerre ! Rendez-vous pour un assaut amphibie nocturne... En faisant un mauvais jeu de mot : "DayZ, c'est (a)varié comme jeu" ! ... PS : pensez à faire la mise à jour comme annoncé ici : http://www.leclandesofficiers.com/Forum/index.php/topic/8100-installation-de-dayz-pour-les-soirees-du-mercredi/#entry99284 Si problème, on verra ça demain ou mercredi...
  11. Yop les gars... Que diriez-vous d'une petite soirée DayZ mercredi soir? Scénario : Catsy... Comment on dit, déjà? "Ave Caesar... Morituri te salutant!"
  12. (Suite...) Au sommet, il y a un relais téléphonique, symbole d’une autre époque… Le groupe sort des véhicules, et commence à aborder l’aspect tactique de la situation. Quelle approche adopter ? Lux et Staiff proposent une division de l’effectif en trois groupes : - le groupe « Alpha » (Staiff, Gaourry, Carl et Lankou) ; - le groupe « Bravo » (Lux, Anatoli, Valou et Joarius) ; - et « Charlie » en la personne de Catsy, notre sniper du moment. Rapidement, ils tracent les grandes lignes de notre progression sur la carte. Le plan adopté est le suivant : Catsy reste sur la colline d’Olsha pour couvrir notre assaut, pendant qu’Alpha et Bravo progressent jusqu’à un muret au nord de la piste. A partir de là, Bravo ira se positionner vers l’Ouest en bas d’un talus qui donne sur la piste, et Alpha fera pareil, mais à 200m des Bravo. Une fois tous les groupes en position, Bravo s’élancera à l’assaut des hangars, pendant que Charlie et alpha les couvriront en dégommant tout ce qui se présente. La machine récupérée, ce sera un retour vers le muret au nord de la piste. Ça parait pas mal, comme plan… Les Alpha et Bravo entament leur progression… Arrivés au muret en ruine, on fait le point de la situation. Sur la piste, on voit clairement deux patrouilles de quatre hommes armés de part et d’autre des bâtiments, et quelques zombies aux alentours. Ça va pas être du gâteau… La situation évaluée, les deux groupes reprennent leur progression. En silence. Le grand talus qui nous sépare de la piste permet une couverture totale. Les Alpha annoncent qu’ils sont en position. Nous, du côté Bravo, on rencontre un zombie près d’une petite cabane, et on le finit à la machette… Dégueulasse… On arrive enfin sur notre position, en contrebas du talus. Derrière, c’est la piste et les hangars. Et les surprises, bonnes ou mauvaises. On en profite pour s’assurer qu’Alpha est bien sur la sienne. Il ne nous reste qu’à attendre le signal de Catsy, qui suit les deux patrouilles dans la lunette de son fusil longue portée. Ça fait du bien de se dire qu’il y a quelqu’un qui nous couvre. Et là, je réalise que je fais partie de l’équipe qui va se précipiter à l’assaut des bâtiments. Je croise les doigts… Ça y est ! C’est parti ! Catsy vient de nous donner le feu vert ! Avec mes camarades, je m’élance vers le sommet du talus… Les Alpha ont fait de même, et déclenchent un tir nourri bigrement efficace sur les hommes en armes près des bâtiments. Plusieurs d’entre eux s’écroulent… Les Bravo arrivent pleine balle vers le bord de la piste… … qu’ils traversent pour explorer les deux hangars. Autour d’eux, des cadavres… Rien dans le premier hangar. Dans le deuxième, on découvre une installation protégée par des sacs de sable et du barbelé. A l’intérieur, une grosse caisse. On se regarde, et je m’approche avec Lux de la caisse. En l’ouvrant, on y découvre une paire de JVN, quelques chargeurs de Stanag, et une bien étrange machine, grande comme un gros four à micro-ondes… Bingo ! On l’a trouvée ! Pendant que Lux exulte, je remarque, au fond de la caisse, une petite boite en métal avec un drôle d’appareil dessus… Mon sang se glace lorsque je réalise qu’il s’agit d’un détonateur relié à du C4 en grosse quantité. Et l’appareil indique 15, 14, 13… Saleté de bombe : on l’a déclenchée en ouvrant la caisse… Je crie et commence à courir vers la piste comme un fou. J’ai le temps de voir que tous les Bravo ont fait de même… Au moment où je me jette au sol, une énorme explosion retentit dans mon dos… Je me relève, complètement sonné, et je découvre un spectacle de désolation… Le hangar n’est plus qu’un tas de tôles fumantes… Il n’est reste plus rien. C’est à ce moment-là que Catsy nous annonce que des gars armés arrivent en courant du Sud-Ouest de la piste. Panique… On commence à courir, et Lux nous crie de nous diriger vers la tour de contrôle. On y grimpe, et là, ça tire dans tous les sens… Plusieurs d’entre nous sont grièvement blessés par les tirs ennemis… Rapidement, les Alpha organisent une couverture de la zone qui permet à notre équipe Bravo (du moins ce qu’il en reste) de sortir de ce piège, et de se replier à l’abri du muret qui surplombait la piste. Les premiers soins sont donnés à ceux qui en ont le plus besoin. Les survivants se regroupent alors, et partent récupérer les copains qui sont tombés au champ d’honneur, ainsi que leur matos… Là, je passe les détails. Mais au bout du compte, on se retrouve tous dans les deux véhicules. Le soleil se couche, et on fait route silencieusement vers notre camp de base… J’ai un sale arrière-goût dans la bouche : on était si près du but… C’est un rêve qui s’écroule… Un espoir qui fout le camp… Ce soir-là, autour du feu de camp, personne n’avait envie de plaisanter… Demain est un autre jour, mais il s’annonce morne… - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Et voilà… Amusez-vous bien !! Perso, je suis absent la semaine prochaine pour cause de vacances. Catsy nous dira si y’a un truc de prévu…
  13. Hello les survivants… Et voici le compte-rendu de notre double mission des deux dernières semaines… Enjoy ! - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Journal d’Anatoli – 117ème jour après le « Jour Z ». Ce matin, on a capté une conversation radio très étrange… Deux types faisaient mention d’un déménagement de matériel à partir du château du Diable, au nord, vers une destination inconnue… Ça a éveillé notre attention… Apparemment, le déménagement devait se faire en deux fois. La première tournée venait de quitter le château. Avec l’équipe présente au camp de base, on s’est dit qu’on pourrait profiter de cette opportunité pour tenter un raid vers le château du Diable, afin de récupérer un maximum de matériel au nez et à la barbe des occupants. C’est que nos réserves commencent à diminuer… Chacun s’équipe en conséquence : armes, munitions, nourriture, boisson, médics… Notre équipe est composée de Joarius, Staiff, Lankou, Carl, Gaourry, Lux, Catsy et Anatoli (votre serviteur). La fine équipe, quoi… Une fois cette étape achevée, on se dirige vers le feu au milieu du camp, afin de discuter de la meilleure manière possible de procéder. On a convenu de prendre un seul véhicule, le Range Rover, afin de nous rendre à 700m du château. De là, on a prévu de continuer à pied, pour privilégier une approche discrète vers le château, par les bois. Même si on se doute que le comité d’accueil devrait être light, on n’est jamais à l’abri des mauvaises surprises… Et puis il y a ces fichus zombies… Une fois toute l’équipe embarquée, le Range Rover fait route vers le château du Diable. Quel nom sinistre… Ils avaient pas l’air de rigoler tous les jours, par ici, avant le jour Z… Après 15 minutes de route, on arrive dans les bois, à l’endroit où on a prévu de stopper le véhicule. Le temps est menaçant… ça va virer à la pluie… Une fois débarqués, on constitue les 3 groupes pour assurer une progression efficace vers l’objectif. Le moral est bon à la perspective de trouver des choses intéressantes sur place. La progression commence. En silence. On s’améliore, avec le temps… Question de survie, comme je l’ai déjà écrit… Les 3 groupes se couvrent mutuellement. Pour le moment, calme plat… On arrive en vue de la route qui mène vers le château. Les choses sérieuses vont commencer… Le premier groupe traverse, sous le regard attentif des 2 autres. Soudain, les sombres murailles de la bâtisse apparaissent derrière l’épaisse végétation. Je ne peux m’empêcher de frissonner : ça me met mal à l’aise. Prudemment, on s’avance par groupes, prêts à toute éventualité… … qui ne tarde pas à se manifester sous la forme d’un zombie qui nous dégringole dessus. Catsy le dégomme à la machette, mais des coups de feu retentissent simultanément en provenance de l’intérieur. Il y a un petit comité d’accueil à l’intérieur… Rapidement, quatre types en uniformes tombent sous nos balles… On progresse à l’intérieur de l’enceinte, tirant sur les cadavéreux stupides qui tentent de nous croquer tout cru. La tension est palpable dans l’équipe. Le périmètre semble sécurisé ; commence alors la phase de fouille systématique du site. Au bout de 10 minutes, un cri retentit en haut du donjon principal. Je lève la tête et voit Joarius qui nous fait des grands signes avec les bras. Nos petits groupes convergent vers le donjon, et tout le monde se retrouve rapidement en haut de l’édifice (en ruine, d’ailleurs…). Là, des caisses, contenant munitions, médocs et matériels divers nous attendent. Bonne prise ! A côté, deux chaises et une table ; des documents sont éparpillés. Rapidement, on épluche ces derniers, et là, c’est la surprise : les types belliqueux à qui on a affaire depuis plusieurs semaines ont mis au point une machine capable, visiblement, de contrôler les zombies ! Les papiers sont clairs à ce sujet. Bon sang ! Ça confirme ce qu’on a observé ces derniers jours… Tous ces types armés qui patrouillaient en présence de putréfiés qui ne les attaquaient pas ! Sous la pile de papiers, on trouve une photo qui suggère l’emplacement de cette machine. Un mot y est attaché, signé d’un certain « J. ». On y apprend, entre autre, que le chef de tous ces gars en armes est surnommé « KaiserKiller »… ça fait froid dans le dos… Et la fameuse machine serait planquée dans un des deux hangars de la photo. Ça limite les recherches et la prise de risque. Staiff, Jo et Lux, en examinant la photo, suggèrent que ce lieu ne leur est pas inconnu. Il pourrait s’agir de la piste d’aviation près de Krasnostav, non loin d’ici. C’est à ce moment-là que Lankou lance un cri : « Alerte ! Intrus en provenance du Sud » ! Et Carl d’ajouter que des gars armés arrivent par le Nord-Ouest. Rapidement, de toute évidence, on est encerclé… Probablement les gars qui revenaient chercher ce qu’ils avaient laissé en plan. Quelle poisse ! Il faut que ça arrive maintenant ! Lankou descend les marches pour se positionner près de la porte d’entrée du donjon. Lux et Catsy s’installent de part et d’autres des créneaux du donjon avec leur fusil à lunette et commencent à allumer les types qui se dirigent droit sur nous. Des impacts de balles sont visibles à côté de nous, sur les murailles. On ne va pas pouvoir rester longtemps dans cette situation. D’autant plus qu’on dénombre une trentaine d’hommes là-bas… Un cri retentit, en provenance de l’entrée du rez-de-chaussée du donjon. On appelle Lankou, il ne répond pas… La tuile ! En plus, on voit des types entrer dans l’enceinte du château. Ça va devenir malsain… On décide de se frayer un chemin pour se tirer d’ici au plus vite. Les deux snipers concentrent leur feu vers le Sud, et à leur signal, par groupes, on s’élance hors du donjon pour tenter de rejoindre l’abri des bois, afin de retourner vers le véhicule. Les balles sifflent de toutes parts, et c’est un vrai miracle que personne ne soit tué ! Quelques blessés sont à déplorer, néanmoins. Le dernier groupe arrive en vue du véhicule, où sont postés les autres membres de l’équipe, en couverture. On embarque dans le Range Rover après avoir rapidement soigné les plus mal en point ; il va falloir récupérer Lankou et son matos. Un retour au camp est décidé afin de prendre l’hélico pour aller chercher notre camarade. L’hélico, en sale état, nécessite quelques menues réparations. Au bout de 15 minutes, Lux décide qu’on peut voler, malgré tout, tant que lui en demande pas trop… Gloups… Et nous voilà partis vers la position présumée de Lankou ; Joarius est aux commandes de l’hélico. Re-gloups… On finit par repérer une silhouette qui court à toute vitesse, non loin d’habitations… Joarius pose l’hélico, et on se déploie tout autour pour sécuriser l’engin et assurer la couverture de Lankou. Quand tout à coup, quelqu’un (Staiff, il me semble…) crie « Attention : zombies devant ! ». Gaourry, dans un réflexe de survie, épaule et tire dans la foulée. Devant la stupeur générale, Lankou s’écroule, un petit cercle sombre situé entre les deux yeux… Après quelques péripéties qu’il serait trop long de raconter ici, on finit par le récupérer. On retourne vers le château pour récupérer (sans trop d’encombre) son équipement… Les types armés sont partis. Et c’est le retour au camp où on décide de se reposer quelques heures avant de repartir vers la piste d’aviation. Tout le monde est excité… Une machine capable de mettre fin à ce cauchemar… Après tout ce qu’on a traversé, ça représente quand même une chouette porte de sortie. Après quelques heures de repos, on se rééquipe rapidement. Un neuvième survivant nous rejoint, de retour d’une mission de reco à l’Est d’ici : Valou. On décide de prendre nos deux SUV, équipés de pièces de rechange, au cas où… … Et nous voilà repartis… En chemin vers le petit aérodrome, les villages qu’on traverse présentent les mêmes caractéristiques : désaffectés, avec des hordes de cadavéreux en quête de nourriture sur place. Le pied, quoi… On s’arrête à 1 Km de notre objectif pour faire le point. On est tout prêt du sommet de la colline d’Olsha, endroit duquel a probablement été prise la photo qu’on a trouvée au donjon. L’avantage de cette position, c’est qu’on peut avoir une vue dégagée de la piste, si le temps le permet. A propos de temps, il est pas terrible en ce moment : couvert, avec de la flotte par intermittence… On se croirait en (Grande) Bretagne… (Suite plus bas...)
  14. ... Amen...Ce soir, c'est le grand jour. La photo qu'on a trouvée la semaine dernière au sommet du donjon est très intéressante. Vous la verrez ce soir pendant le briefing. Préparez-Vous psychologiquement et physiquement, car ce soir, c'est "Voyage au bout de l'enfer"...Ça fait peur, hein? ...
  15. Aïe... Je serai en vacances... Loin... Ce sera pour la prochaine...
  16. Hello les gars... Mission prévue mercredi soir, comme d'hab'... On va la trouver, c'te machine à contrôler les zombies... ps : je ferai un compte-rendu de la mission de mercredi dernier et de celle à venir, en même temps... Y'aura continuité comme ça...
  17. Expérience "Delta" à propos du syndrome de stress post-apocalyptique : étude comportementale 243.Le sujet qui a demandé l'hélicoptère pour être rapatrié est terré dans un bosquet.Il attend avec impatience l'hélico.Lorsque ce dernier arrive, étrangement, le survivant se met à transpirer et se fait la malle en courant comme un fou dans le sens opposé...Fin de l'expérimentation delta faute de sujet...Hi hi hi...Sacré Gaourry...
  18. Là, va y avoir matière à flipper...
  19. 21h00? Non... C'est comme d'habitude...Enfin je crois...Bref : RdV comme d'hab'...21h00? Non... C'est comme d'habitude...Enfin je crois...Bref : RdV comme d'hab'...
  20. Hep les survivants...Si vous êtes partants, suite des aventures DayZ mercredi soir...Briefing à 21h00 pour démarrage à 21h10.Un étrange message radio vient d'être capté... (suspense).
  21. Hé Staiff...T'auras droit à un contrôle dopage à la fin de la soirée de mercredi prochain...
  22. Staiff, c'est vraiment énorme !!!! Mention spéciale pour celle de LUX en mode panique !!
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