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atchoum

18-19 Mai 1940 Général Giraud Prisonier

Messages recommandés

Bonjour!

Le général Giraud. 

Ecrire un sujet sur le Général Giraud, bien sûr moi, étant un fervent adepte pour rechercher l’aiguille qui se trouve dans la botte de foin. Ainsi, écrire sur le Général Giraud, du moins depuis sa capture puis son internement à la forteresse, puis l’histoire sur son évasion.... 

Hah! ben ici cela me paraît clair comme l’eau de roche. Il me faudra créer 3 sujets distinct. 

Je tente de commencer le premier, avec sa capture, ben mince chez nous les français, ont dirait que les premières sources que j'ai visité, ont eut tous la même source primaire. empêchant de circuler librement l'histoire. ici il faut s'enregistrer. non mais je ne suis pas fou, Rien que pour connaitre une partie de l'histoire, ils pensent, que ont vas s'enregistrer et payer mensuellement....

Ainsi première source avec la photo montrant le Général Giraud fait prisonnier, et étant transporter en Allemagne par Avion le 19 Mai 1940, à son arrivé à Bonn-hangelar.

Donc ma source elle est allemande.

giraud BONN 19 Mai 1940.jpg

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Bien, avant de me lancé dans l'histoire de son lieu d'internement, avec tous les autres généraux Français.

Donc dans un premier temps, je vous donne la vision de la forteresse de Königstein,  avec en contre-bas le village portant le même nom que la forteresse.

Ainsi, vous comprendrez aussi, que pour son évasion, le Général Giraud n'avait pas à marché longtemps avant d'arrivé à la Gare, et bien entendu, lors de sa fuite, il n'était surement pas vêtu de son uniforme de militaire Français. Mais bel et bien en tenu civile.

Mais d'ici à son échappée, ont en reviendra plus tard.

Et je remercie déjà en avant l'ECPAD pour les futur photo montrant le Général Giraud à Königstein avec les autres officiers généraux qui s'y trouvait.

königstein.jpg

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Bien, avant de vous parler sur la détention dans la forteresse de Königstein revenons au jour de sa capture.

“ À Montcornet, 25 R-35 ont menacé le QG de Kirchner 1. Panzer-Division, mais ont été stoppés par les unités du génie et quelques canon légers (leichte Flak-Abt. (Mot.) 83), et finalement ont été repoussés par un groupe de Panzers sortant juste des ateliers de réparation. Les Renaults se retirent finalement à 19 h, sous le feu nourri de six canons d'infanterie automoteurs de 15 cm sIG33 de la schwere Infanterie Geschütz Kompanie 702.

Le lendemain matin, les forces de reconnaissance des Panzers ont franchi l’Oise et le canal de la Sambre. La 2. Panzer-Division de Veiel a pris Saint-Quentin à 9h00 et le Gefechtsgruppe Nedtwig de Kirchner s’empara de Péronne et de ses ponts sur la Somme en milieu d’après-midi.

Rommel se rend à Cambrai, tandis que Kempfs avec sa 6. Panzer-Division détruit le dernier élément du 2e DCr (15e BCC) au Catelet et s'empare du QG de la 9e Armée juste avant minuit. Ignorant ces pénétrations profondes, Giraud se rend à Solesmes pour ordonner à la 1ère DLM de reprendre Landrecies. Cependant, avec la 5. Panzer-Division de Walsporn attaquant le flanc gauche de Picard au Quesnoy, une deuxième contre-attaque était hors de question. De retour au Catelet, Giraud trouva la ville en feu et son QG détruit - il fut capturé dans une ferme le lendemain matin. ”

Alors ici le QG du Général devait être la mairie de Catelet, puisque ici est mort le Général de brigade d’aviation Augereau, qui lui était le commandant des unités aérienne de la 9ème Armée. Et ici l'image affiché, nous montre bien, que 2 chars du 15ème BCC, se trouvait en face de la Mairie au Catelet. dessin fait par le Capitaine Lemennecier servant dans l'état major de la 9ème Armée, après qu'il as été fait prisonnier et transférer dans un Offlag en Allemagne.

.Bien, alors à présent, pas une seconde variante, mais plutôt,  une autre partie du récit manquant, puisque si on utilise uniquement une seul et unique source, c’est sûr, le récit est incomplet.

“ En Mai 1940, après que le front est enfoncé, le général obtient le commandement des débris de la 9ème Armée, ou le souhait du Général est de reprendre l’offensive. Pendant la journée du 18 Mai, le général reçois l’ordre de se replier sur les positions arrières.  Mais le général réplique : “ Un général demandant à ses troupes de tenir les positions sur le terrain, ne doit pas lui même battre en retraite. ” Il Fonce même sur l’avant du front, avec une auto-mitrailleuse de reconnaissance. Le lendemain son dernier message est : “ Entouré de 100 tanks ennemies,  je les détruis en détails ” Malgré sa propre bravoure et celle de ses hommes galvanisé par son exemple, il est fait prisonnier. “ .

Moi, je pense que c’est la partie ou pour revenir au Catelet, il as réussis à se frayer un chemin entre l’encerclement des tanks et il est revenu au Catelet. 

 

une autre partie est encore disponible, mais il faut en premier lieu que je la traduise!

le_catelet.gif

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Ici à présent, c’est une variante. En raison que ici pour l’histoire, si à présent, chaque soldats de la 9ème Armée sous le Général Giraud, ayant participé au combat de cette journée, racontait sa propre histoire. On n’en finirait pas avec les différente variante, un énumérerait, “ dans notre secteur le Général avait passé en revue l’effectif….. ” Donc en clair, ici bien sûr, il existera toujours des variantes à n’en pas finir, en raison que une journée contient 24h, et  ainsi, bien sûr, lors de cette journée, mêmes les heures se sont transformé en 24h x 60 minutes.  Enfin bref, ici cette source, provient d’un forum, et qui la Source, David Lehmann avait déjà répondu à ce sujet en 2006. Ou il répond avec cela :

“ Bonjour,
Peut-être plusieurs éléments vous aideront. Je ne sais pas exactement ce qu'auraient pu être les troupes françaises au Catelet le 18 mai. Probablement que des éléments d'infanterie / logistique / clairsemés  de troupes de l’arrière et je suppose que les 2 voitures blindées mentionnées dans votre lien auraient pu être des blindés Panhard 178 provenant de la 2e GRDI (9e DIM) présent dans la région. Quelques chars B1bis de la 2e DCr (la division est complètement dispersée sur un large front) attaqueront néanmoins Le Catelet le 19 mai 1940.

A Wassigny le 18 Mai 1940, il y a des restes / éléments de la  2ème / 8e BCC et de  la 3ème / 15e BCC de la  2e DCr.

Le général Billotte (groupe d'armées 1) ordonne au général Giraud de se retirer sur le Catelet puis sur Cambrai. Giraud reste un peu à Wassigny mais l'essentiel de son QG est capturé par le 6.PzD en arrivant au Catelet. Il n'en est pas encore conscient. Wassigny est alors évacué, les troupes sont réparties en 2 groupes :

-> 1ère colonne partant à 19h00 formée avec des équipages de chars ayant perdu leurs chars et transportés dans divers véhicules légers. Ils doivent rejoindre le bois de Villers-Cotterets par Le Catelet. Ce groupe comprend 1 side-car de la 4e beaucoup, 1 moto, 1 voiture civile et 2 camions militaires.
A 23h00, la première colonne est dispersée à travers une embuscade. La route est minée et les troupes allemandes et les AFV leur tirent dessus. Les Français ripostent mais ils n'ont que des armes légères et peu de munitions et au moins une Mitrailleuse  MAC31 provenant d'un char B1bis sabordé. Plusieurs d'entre eux parviennent à se cacher et à s'échapper, mais beaucoup seront capturés les 19 et 20 mai. Seuls 10 hommes parviendront à rejoindre à nouveau les troupes françaises et leur bataillons dans la forêt de Compiègne ... le 28 mai.

-> La 2ème colonne partant à 20h00 est commandée par le Capitaine Deyber à partir de la 2è / 8e BCC. Ce groupe comprend - B1bis 'Adroit' et B1bis 'Eclair' de la  2è / 8e BCC - B1bis 'Tunisie' (qui a perdu sa coupole lors d'un précédent combat à Ors le 18 mai) et le B1bis 'Maroc' de la 3è / 15e BCC - 1 side-car - 4 tracteurs de ravitaillement Lorraine 37L

A partir de la 2ème colonne, seul le B1bis 'Adroit' se déplace sur la route prévue. Les autres éléments se déplacent vers Elincourt pour rejoindre Le Catelet par l'accès nord. Le B1bis 'Adroit' est attaqué à 01h30 le 19 mai par des canons lourds allemands. Il continue plus au nord et rejoint 2 autres chars B1bis de la 2ème colonne à Dehéries. Ces 3 chars attaquent les troupes allemandes et reprennent Dehéries et Villers-Outréaux à l'ennemi. Le B1bis 'Eclair' a une panne mécanique. Il est sabordé et abandonné. Le Capitaine Deyber décide alors d'emmener au Catelet vers les éléments allemands de la 6.PzD. Le B1bis 'Adroit' qui lui est à court de carburant et doit être abandonné.
Le B1bis 'Maroc' et le B1bis 'Tunisie' pénètrent dans Le Catelet, infligeant des pertes importantes à l'ennemi. Les deux chars seront néanmoins abandonnés ou détruit au Catelet. L'équipage du 'Tunisie' sera capturé le 23 mai. -> Cette 2e colonne est suivie d'une 3e colonne composée de bus transportant diverses troupes d'infanterie / logistique / QG de nombreuses unités différentes. Ils sont emmenés par le B1bis 'Mistral' et ils quittent Wassigny à 20h30 / 21h00. Le B1bis 'Mistral' de la 3è / 15e BCC est également à Wassigny mais rejoindra les autres chars B1bis plus tard. Ce char ne bougeait pas avec la 2e colonne car l'équipage était épuisé après plusieurs jours de combat et de mouvement sans dormir du tout.
Le B1bis 'Mistral' n'est pas non plus très agréable à voir, il était recouvert de nombreuses parties de corps allemands (chair, parties uniformes etc.) coincées dans les éléments des chenilles. Principalement à cause des combats à Landrecies le 17 mai. En effet, le B1bis 'Mistral' a poursuivi plusieurs soldats allemands en traversant les murs d'une maison pour les tuer. En arrivant à Bohain, le B1bis 'Mistral' en tête de la colonne repère 2-3 AFV allemands et un blocus détruit. Le sous-lieutenant Raiffaud conclut que la ville est occupée par l'ennemi. Ils ont passé la nuit dans les champs alentour. A l'aube (19 mai), ils continuent, évitant Bohain et se dirigeant vers Le Catelet. La 3e colonne rencontre le Panhard 178 «Fracas» du 4e peloton du 2e GRDI (9e DIM) commandé par l'aspirant Alain de Mierry. Cette voiture blindée est le seul survivant de son peloton. Il ouvrira la voie au Catelet. Le B1bis 'Mistral' rencontre le lieutenant Magrey de la 8e BCC sur la route. Il fait partie de l'équipage. A 10h00, ils arrivent devant Le Catelet où 2 voitures blindées allemandes peuvent être vues détruites. En entrant dans la ville et en traversant une place, le Panhard 178 est pris en embuscade par des canons anti-aériens allemands tirant de différentes directions. La tourelle est en haut à droite et à gauche mais sans dommage grave et personne n'est blessé. Immédiatement, le 2e conducteur (le Panhard 178 a un double entraînement) recule tandis que plusieurs projectiles passent devant la voiture blindée. Le B1bis 'Mistral' qui est resté loin derrière le Panhard 178 continue d'avancer. Il détruit un canon Anti-Char (ou un char selon le chauffeur) caché derrière un bâtiment et se dirige vers le pont sur l'Escaut. Ayant atteint le pont, le commandant aperçoit les troupes françaises sur l'autre rive et croit avoir rejoint les lignes françaises. Le lieutenant Magrey renonce à vouloir entrer en contact avec ces troupes. Mais dès qu'il s'est déplacé de 50 mètres, 2 canons Anti-char allemands commencent à tirer sur le B1bis 'Mistral' arrêté (un à l'avant et un à l'arrière du char). Celui à l'arrière parvient à neutraliser le char français. Le sous-lieutenant Raiffaud évacue le char et saute dans la rivière. Il franchira 70 km en 48 heures avant d'être capturé par des éléments de la 7.PzD.

Concernant le général Giraud, il quitte Wassigny dans la soirée également en voiture avec son officier d'état-major et un sous-officier. Arrivé à une dizaine de km du Catelet il est informé de la présence de troupes ennemies. Ils quittent la voiture. Et pendant 3 heures, ils marchent dans les champs pour éviter les troupes allemandes. Ils arrivent au Catelet, pensant rejoindre le reste du QG. Il y a une escarmouche avec plusieurs soldats allemands et puis ils se cachent dans une forêt. Le 19 mai au matin, le général Giraud est heureusement secouru par un blindé Panhard 178 au sud-ouest de Bohain. Il s'agit du Panhard 178 'Fracas' de l'aspirant Alain de Mierry. Ils tenteront toute la journée de trouver un moyen pour sortir mais ils sont encerclés. Enfin, le général Giraud sera capturé vers 22h00 ou 23h00 le 19 mai.

Salutations, David ”

Ainsi ici, ont sait à présent, d’ou provenait les chars.
Ainsi aussi, à présent, il suffit de comblé les parties manquantes avec ses parties...

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