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D0omHammer

L'Armée Blindée Allemande en 1944

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Au bout de presque 5 années de guerre, la force blindée allemande de la Heer (armée de terre) et de la Waffen-SS représente 32 divisions, non compris les unités autonomes. Le 6 juin 1944 à l'aube, seules deux divisions sont présentes en Normandie.Mais l'impressionnant déploiement des forces alliées ne va cesser de faire converger vers ce nouveau front près d'une dizaine d'autres divisions blindées.Quelles Forces représentent-elles réellement ? Quel est la doctrine d'emploi pressentie à leur sujet ? Quelle est la structure type ? Quels sont les engins qui les composent ? Quelles sont leurs capacités combatives ? (Les minis-guides Histoires & Collections, 2003)

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Et bien il faut dire qu'à l'époque, les effectifs des divisions allemande changeait souvent, de nombreuses refonte eurent lieu. Notamment celle de 1944 ou l'effectif totale de 15'600 hommes de 1941-42 est passé à 14'727 hommes. Le Panzerregiment ne comprend alors plus que 2 bataillons sur 3 avant de 48 chars, tout cela organisé sur 4 compagnies. :P Je donnerai encore des details ces prochains jours

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Ce qu'il faut savoir aussi, c'est que sur les fronts "difficiles", principalement en russie, certaines divisions blindées n'avaient plus de chars depuis longtemps... Faute de réparation ou de ravitaillement adéquat, de nombreux panzers étaient abandonnés et jamais remplacés.

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Justement, il faut savoir que la priorité était le Front Russe, tout le matériel et l'approvisionnement se faisait pour ce front là, notamment le carburant. En Normandie il n'y avait que peu de moyen.

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Le ContexteLes divisions blindées allemandes qui prennent part aux combats en Normandie sont de deux types: celle de l'armée (Heer) et celles de la << SS armée >> (Waffen-SS). Leur puissance est égale: en théroie, leurs effectifs pleins sont de 96 Panzer IV et 75 Panther. Le danger pour les unités allemandes montant renforcer le front en Normandie, et en particulier les unités blindées, est la menace de l'aviation alliée, dont les interventions sont redoutables, leurs effets demeurent plus psychologiques que matériels: les convois ne subissent pas de pertes significatives. Cependant, la majorité des ponts le long de la Seine entre Paris et la côte étant détruits par l'aviation, leur progression est entravée. Quelques unités n'en réussissent pas moins à rallier rapidement, progressant de 400 kilomètres en deux jours.L'autre problème majeur auquel se heurtent ces grandes unités est le manque de carburant. Si les attaques aériennes alliées contribuent à cette carence, elles n'en sont pas directement la source: la pénurie commence dès 1942, et le front de l'Est étant prioritaire, l'essentiel de la production allemande et des territoires sous son contrôle y est dirigée. La pénurie est telle sur le front de l'Ouest qu'elle restreint considérablement l'entraînement des unités blindées stationnées en France. Les dépôts d'essence en Normandie sont peu nombreux et de faible volume: le plus près des têtes de pont alliées est à Domfront, à 70 km de Caen. Il recueille 960 m3 d'essence.Une fois arrivées sur les lieux des combats, les unités disséminées dans le bocage vont tirer parti de sa particularité topographique: celui-ci se caractérise par des pâtures ceinturées de haies hautes et drues plantées sur des levées de terre, parsemées de chemins creux et étroits, qui favorisent le camouflage et la dissimulation. En revanche, il rend difficile la progression des chars, lesquels ne peuvent voir par-dessus les haies, ni faire pivoter leur canon, ni faire demi-tour en cas d'attaque.En conclusion, on peut dire que l'aviation d'assaut n'a pas eu besoin, puisqu'elle n'en est pas capable, d'infliger des pertes matérielles aux blindés pour entraver leur progression. Le fait de les empêcher de manoeuvrer en les obligeant à se mettre à couvert des heures durant, à détruire les convois << classiques >> de transports de ravitaillement et surtout d'essence, ne permet de les engager que par petits groupes, empêchant les grandes concentrations qui auraient permis de mener des actions de grande ampleur, et même à dissuader certaines unités de rejoindre le front. (Les minis-guides Histoires & Collections, 2003)

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La Panzer Division en 1944Leur avance dans le domaine des grande unités blindées ont permis aux allemands de remporter, dans les premières années de guerre, de fulgurantes victoires. A chaque fois, les Panzer Divisionnen (divisions blindées) constituent le fer de lance de leurs forces terrestres. La guerre se prolongeant, le nombre de ces unités ne cesse de croître: de 10 en 1940, elles passent à 25 en 1942. Mais la pénurie des effectifs et des matériels, liée à la difficulté à produire toujours plus et mieux face à l'énorme potentiel industriel de ses ennemis, contraint l'armée allemande à adopter, en 1944, une nouvelle organisation: cette dernière fait que la Panzer Division de cette époque n'a plus qu'un lointain rapport avec celle qui déferlait sur la France en mai-juin 1940. L'évolution des méthodes de combat (accroissement des moyens antichars, du tonnage et de la puissance des blindées notamment) influe également sur cette refonte.En 1944, l'effectif total de la division a été ramené de 15'600 hommes en 1941-42 à 14'727. Le régiment de char (Panzerregiment), qui constitue l'ossature de la division, ne comprend plus que deux bataillons de 48 chars ( contre trois précédemment), organisés en 4 compagnies chaque. L'un des deux bataillons est, en principe, doté de Panzer IV, l'autre de chars Panther. Le régiment bénéficie également d'importants moyens logistiques.La division comprend, outre le régimentde chars, deux régiments de Panzergrenadiere moto/mécanisés, un groupe de reconnaissance blindé, un bataillon de chasseurs de chars. Son artillerie, renforcée, consiste en un régiment d'artillerie motorisé et un groupe de DCA (Flak). D'autres éléments organiques la parachèvent: un bataillon blindé du génie, un bataillon blindé des transmissions, un bataillon de dépôt, un groupe du train, un bataillon de réparation du matériel auto, un bataillon d'intendance, un bataillon sanitaire. Ainsi, avec un effectif théorique de 160 chars, 28 chasseurs de chars, 30 canons automoteurs et 300 semi-chenillés blindés, la Panzer Division offre une puissance de feu remarquable, bien que légèrement inflrieure à celle de 1943. (Les minis-guides Histoires & Collections, 2003)

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Les matérielsLes matériels blindés emplyés en Normandie peuvent être classés en trois catégories:Les chars de combat ou d'assaut:Leur armement principal, un canon de 75 ou de 88 mm pour les chars moyens et lourds, est monté sous tourelle pivotante. Conçus pour être aussi polyvalents que possible, ils ont pour but de rivaliser avec les chars adverses, mais également d'agir avec efficacité contre les objectifs non blindés.Les canons d'assaut (Sturmgeschütze):Ils sont un compromis entre le char de combat et le canon automoteur. Conçu initialement pour l'appui direct de l'infanterie, ils ont pour mission la destruction d'obstacles divers tels que: nids de mitrailleuses et positions de pièves antichars. Souples et performants, plus facile et moins chers à produire qu'un char, ils prennent une importance graduelle. Cet instrument offensif va voir son rôle se modifier avec l'évolution de l'infanterie, qui devient un instrument de plus en plus défensif à mesure que la guerre se prolonge. De plus en plus utilisé dans le rôle de chasseur de char, il va démontrer là aussi ses capacités, sa mobilité (à l'inverse de l'artillerie tractée) lui permettant de se soustraire facilement aux coups de l'adversaire.Les anitchars automoteurs devenus chasseurs de chars (Jägdpanzer):Conçus spécifiquement pour prendre les chars adverses à partie, ils consistent, à l'origine, en un canon antichar monté sur un châssis d'un blindé ou d'un char obsolète, l'équipage prenant place dans un compartiment faiblement blindé, à ciel ouvert, et n'offrant parfois aucune protection arrière. Ces matériels d'urgence sont réalisés pour faire face aux formations massives de chars sur le front russe, et notamment au nouveau et redoutable T-34. Plus tars, cette formule débouche sur des véhicules conçus spécifiquement pour ce rôle, dôtés d'un armement plus puissant, plus trapus, plus bas, entièrement protégés. Ils ne se différencient du char que par l'absence de tourelle, qui est leur seul handicap, mais c'est le prix à payer pour produire rapidement un engin de conception simple à faible coût. Sa production est hâtée par le général Guderian afin de palier les difficultés rencontrées par l'industrie allemande.Globalement, qu'elles sont les qualités et défauts intrinsèques de ces matériels ?Les chars d'assaut sont, généralement, supérieurs à leurs homologues anglo-saxons: Les Tiger et Panther, mis en service respectivement fin 1942 et mi-1943, les supplantent dans de nombreux domaines. Le Panzer IV, dont la conception remonte à 1938, accuse son âge, en dépit de constantes améliorations apportées, mais son armement demeure redoutable. Il consiste encore à cette époque l'ossature des Panzer Divisionen, mais son Alter ego américain, le Sherman, se montre d'un niveau somme toute comparable. Le quatrième blindé le plus courant en Normandie, le Sturmgeschütz III, n'est lui aussi guère supérieure à la plupart des blindés adverses. Comme le Panzer IV, il souffre d'un manque de mobilité et de fiabilité mécanique. Son seul avantage réel réside en son canon, plus puissant que celui des 75 mm des Sherman, mais équivalent aux 76 mm rencontrés sur certaines autres versions. D'une façon générale, les chars allemand sont inférieurs en vitesse face à leurs homologues américains. Mais la faible mobilité qui touche les autres composantes de la Heer les contraints toujours plus à mener une guerre défensive.(Les minis-guides Histoires & Collections, 2003, Blindés en Normandie: les Allemands)

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heu... consernant les Panther, ils ont un gros manque de blindage à l'arriére et sur les côtés, ce qui les rends plus vulnérables que le Tiger. Mais de maniére générale, le gros probléme des Panzer, c'est la surchauffe chronique du moteur et les pannes à répetition notamment avec la boite de vitesse des derniers char. Non pas parceque le systéme avait un probléme, mais les equipages n'avaient pas la formation necessaire au bon maniment de la boite de vitesse.Quand au divisions présentes, yavait notamment la 2te Panzerdivision SS "Das Reich" qui était equipé pour beucoup de Königstiger.Il y avait aussi la division Hitlerjüng qui n'a pas fait long feu d'ailleur, ce qui démonte la thése de Gobbels qu'une armée bien formée politiquement est la meilleure.

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Effectivement je n'étais pas rentré dans les détails lié aux soucis matériels :P Merci pour ces précisions et bienvenue parmis nous :) Le système de roulie des chenilles aussi possait problème, notamment en hiver après un passage dans la boue, une fois celle-ci gelé le char était immobilisé, surtout sur le front russe. Mais pour le front de l'Ouest, le principale problème pour les Chars étaient les vastes terrains parsemés de haies, qui n'était pas réellement franchissable sans ennui matériel.

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en char puissant il y a le jagdtiger canon 128 mm chassis de base tigre 2 .il fut produit à faible quantité en fin de guerre.si ça vous interresse j' ai l' organigramme des peletons motorisés et des pelotons de panzer grenadiers (militaria n°203) de 1944 ainsi que le 8e regiment de char en afrique de 1941, 1 compagnie anti-char de 1941 et les véhicules des panzergrenadiers (compagnie) de 1942. source plan à maquette. et oui j' suis maquettiste de la 2°GM

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bon voila pour les véhicules des panzergrenadiers de 1942commandement: 1ere section: sdkfz 251/10 sdkfz 251/1 sdkfz 251/1 sdkfz 215/1sdkfz 250sdkfz 250 2° section: idemreconnaissance: 3° section: idembmw side-carzundapp section de soutien: sdkfz 251/3 sdkfz 251/1* sdkfz 251/2zundapp sdkfz 251/1* sdkfz 251/2zundapp251/2: mortier de 81 cm251/3 : radio251/1*:1 MG supplémentaire251/10: 37 cm anti-char

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peloton mécanisée de panzergrenadiergroupe de commandement:chef de peloton chef de groupe (sniper) pilote sdkfz 251/17 transmetteur transmetteur bracardier tireur de bord (MG)groupe1:chef de groupe 2°chef de groupe 1e tireur MG 2e tireur MG 1e tireur MG 2e tireur MG 1e tireur panzerschreck 2e tireur panzerschreck pilote sdkfz 251/17 2e pilote et tireur de bordgroupe 2 et 3:idem

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voila les regiments allemand présent pendant la bataille de Normandie.si vous faite une recherche plus poussé, sur les régiments, vous trouverez leur matériels!!!

Enemy Chain of Command and Order of Battle Supreme Command WestGeneralfeldmarschall Gerd von RundstedtArmy Group BGeneralfeldmarschall Erwin RommelSeventh ArmyGeneraloberst Friedrich Dollman (died 28 June)LXXXIV Corps,General der Artillerie Erich Marcks (KIA 12 June)General der Artillerie Wilhelm Fahrmbacher (to 17 June)General der Infanterie Dietrich von Choltitz Units of LXXXIV Corps identified on VII Corps front: 17th SS-Panzer Grenadier Division (Geotz von Berlichingen), Genlt. Werner Ostendorf, CG37th Panzer Grenadier Regiment38th Panzer Grenadier Regiment77th Division, Genlt. Rudolph Stegmann, CG (KIA 17 June), Obst. Rudolph Bacherer91st Luftlande (Airborne) Division, Genmaj. Wilhelm Falley, CG (KIA 6 June), Obst Eugen Koenig, CO1057 Grenadier Regiment1058 Grenadier Regiment243d Division, Genlt. Heinz Hellmich, CG (KIA 17 June), Obst. Bernard Klosterkemper, CO920th Grenadier Regiment921st Grenadier Regiment922d Grenadier Regiment265th Division, Genlt.Walter Duevert, CG894th Grenadier Regiment895th Grenadier Regiment896th Grenadier Regiment352d Division, Genlt. Dietrich Kraiss914th Grenadier Regiment709th Division, Genlt. Karl W. von Schlieben, CG919th Grenadier Regiment729th Grenadier Regiment739th Grenadier Regiment649th Ost Battalion, attached795th Georgian Battalion, attachedSturm Battalion AOK 7 (attached to 709th Division), Maj. Hugo Messerschmidt, CO6th Parachute Regiment (attached to the 91st Division), Maj. von der Heydte

et voila les régiments alliées

Allied Chain of Command and Order of Battle Supreme Allied CommanderGen. Dwight D. Eisenhower21st Army GroupGen. Sir Bernard L. MontgomeryFirst ArmyLt. Gen. Omar N. BradleyVII Corps Maj. Gen. J. Lawton Collins UNIT COMMANDER 4th Division Maj. Gen. Raymond O. Barton 8th Infantry Col. James A. Van Fleet 12th Infantry Col. Rusell P. Reeder (11 June)Lt. Col. Hervey Tribolet 22d Infantry Col. Hervey A. TriboletCol. Robert T. Foster (26 June) 9th Division Maj. Gen. Manton S. Eddy 39th Infantry Col. Harry A. Flint 47th Infantry Col. George W. Smythe 60th Infantry Col. Frederick J. de Rohan 79th Division Maj. Gen. Ira T. Wyche 313th Infantry Col. Sterling A. Wood 314th Infantry Col. Warren A. Robinson 315th Infantry Col. Porter P. WigginsCol. Bernard B. McMahon (24 June) 82d Airborne Division Maj. Gen. Matthew B. Ridgeway 505th Parachute Infantry Col. William E. Ekman 507 Parachute Infantry Col. George V. Millett, Jr.Col. E.D. Raff (15 June) 508th Parachute Infantry Col. Roy E. Lindquist 325th Glider Infantry Col. Harry L. Lewis 90th Division Brig. Gen. Jay MacKelvie 357th Infantry Col. Philip D. GinderCol. John W. Sheehy (13 June)Lt. Col. Charles M. Schwab (15 June)Col. George B. Barth (17 June) 358th Infantry Col. James V. ThompsonCol. Richard C. Partridge (16 June) 359th Infantry Col. Clark K. Fales 101st Airborne Division Maj. Gen. Maxwell D. Taylor 501st Parachute Infantry Col. Howard R. Johnson 502d Parachute Infantry Col. George V. H. Moseley, Jr. (WIA 6 June)Lt. Col. John H. Michaelis (6 June) 506th Parachute Infantry Col. Robert F. Sink 327th Glider Infantry Col. George S. WearCol. Joseph H. Harper (10 June) 4th Cavalry Group Col. Joseph M. Tully 4th Cavalry Squadron Lt. Col. E. C. Dunn 24th Cavalry Squadron Lt. Col. F. H. Gaston, Jr. 6th Armored Group Col. Francis F. Fainter 70th Tank Battalion Lt. Col. John C. Welborn 746th Tank Battalion Lt. Col. C. G. Hupfer

mais un petit conseil, ne vous fier surtout pas à ce site là! c'est tout sauf de l'historique, je ne sais pas d'ou es ce qu'il sort les infos!!!http://www.phdn.org/negation/fous/intoxnormandie.html

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bon ,j'ai fait un tour sur le site et effectivement, c'est un site qui traite sur le négationniste mais est contre.http://www.phdn.org/ la page d'accueil est pus claire. l'article en lien est un exemple de la methode du negationnisme. ;) donc c'est pas dangeureux, mais faut connaitre et etre au courant. (et se mefier quand même)

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bizarre tout de meme ;)

qu'est ce qui est bizarre ? le site ?le site ets un peu bizarre, mais là c'est un site qui montre et refencie les techniques negationnistes et les ecrits du même ordre avec une pointe d'ironie...

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